« À l'époque, il y avait, et il y a toujours aujourd'hui, une énorme pression sur Hockey Canada pour qu'un ou plusieurs joueurs québécois fassent partie de l'équipe olympique.
Montembeault, qui mérite sans doute une place de gardien peu importe ses origines, est le choix facile pour le directeur général Doug Armstrong et ses proches, afin qu'ils n'aient pas à répondre à la question francophone que beaucoup de leurs homologues ont dû gérer au fil des ans.
Je n'invente pas cette pression - je l'ai vue de près. Ceux qui disent que cette pression n'existe pas sont soit naïfs, soit mal informés
L'autre chose, c'est que peu importe qui est le troisième gardien de l'équipe du Canada ou de toute autre équipe. Si on en est rendu au troisième gardien dans un tournoi court, c'est probablement que l'on est déjà éliminé »