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Tomas Tatar a fait une grande promesse aux Canadiens de Montréal

Publié le 22 septembre 2021 à 16h37
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L'ancien attaquant des Canadiens de Montréal Tomas Tatar était devant les médias du New Jersey aujourd'hui lors de l'ouverture du camp d'entraînement des Devils. Celui-ci a signé une entente de deux saisons, d'une valeur de 4,5 millions par saison avec ces mêmes Devils.

Il s'est fait cuisiner sur quelques sujets, notamment de son séjour à Montréal et du fait qu'il avait été laissé de côté plus souvent qu'à son tour lors des dernières séries éliminatoires. Il a mentionné être très heureux de se retrouver au New Jersey.

« Je ne pourrais pas être plus heureux que maintenant. Je suis très heureux de représenter les Devils du New Jersey. »




Tatar a été catégorique, il n'y a rien comme l'atmosphère au Centre Bell. Il carburait à l'ambiance que le temple du Canadien lui procurait.

« Je suis le genre de joueur qui se nourrit de l'appui de la foule. Ça m'a personnellement affecté l'an dernier. », Tatar faisant référence à l'absence des partisans l'an dernier.


Un journaliste lui a demandé ses commentaires sur le fait qu'il avait été laissé de côté par le Canadien très souvent lors des dernières séries éliminatoires. Selon lui, la décision de Dominique Ducharme sortait de nulle part. Visiblement, il ne croyait pas qu'il faisait partie du problème du manque d'offensive et d'efforts soutenus de la part du Canadien.


Selon lui, tout le monde a sa part de responsabilité dans ce genre de situation. Toutefois, il a un plan en tête, il espère faire regretter aux Canadiens de Montréal de l'avoir libéré et de ne pas l'avoir fait jouer en séries éliminatoires.

« Les joueurs font des erreurs, tout comme les entraîneurs. Mon travail est de leur montrer à quel point c'était une grave erreur de me laisser de côté. Je suis très confiant de ce que je peux apporter sur la glace. »


Tatar a dit à maintes reprises son désir de rester avec le Canadien. Il aimait la ville, l'équipe et ses coéquipiers, alors ça a dû être un choc de devoir quitter l'organisation. Il éprouve probablement une certaine amertume envers le Canadien, ce qui est légitime. Peut-être qu'il s'est senti comme un vieux chiffon que l'on jette après l'avoir utilisé. La business qu'est la LNH est parfois cruelle, mais il ne faudrait pas négliger l'aspect humain de la chose.
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