« Il va falloir que je change mon style de jeu si je veux jouer au prochain niveau. Je ne pense pas que je serai un skills guy.
Mes deux coachs dans les deux dernières années, c'est un peu ce qu'ils m'ont fait comprendre. Oui, je suis capable de faire de beaux jeux, mais ce n'est pas ça qui va m'amener du succès.
Je ne dis pas que je ne suis pas capable de scorer non plus, mais je pense que mon skillset, c'est celui d'un joueur qui va approcher la game de la bonne façon. Quelqu'un que tu ne veux pas affronter, contre qui tu sais que ça va être une longue soirée.
Oui, les points, c'est quelque chose, mais là, j'essaie vraiment de voir ce que je peux apporter pour changer des games même quand je ne fais pas de points. »
Ç'a été une surprise. J'étais [dans le top 50] à la mi-saison. Mais rendu là, le repêchage, c'est juste un chiffre.
Je ne dirais pas que je vivais ça mal, mais je suis quelqu'un de très compétitif et je me mettais beaucoup de pression. On a tous des chemins différents, c'est sûr. J'ai beaucoup appris de ça. T'as ben beau dire ce que tu veux, tant que tu ne le vis pas... c'est vraiment quand tu es en plein là-dedans que tu apprends à la dure. »