Le sujet qui fera toujours le moins l'unanimité au hockey est celui de l'arbitrage. Les appels sont inconstants, les arbitres n'agissent pas de la même façon et les joueurs vedette semblent moins ciblés.
Toutefois, quand une règle est écrite noir sur blanc et que les arbitres prennent une décision contradictoire, ça devient assez embarrassant.
Dans la rencontre entre le Canadien et les Stars, Jake Evans a eu une pénalité de quatre minutes pour bâton élevé. Selon le règlement, le joueur doit saigner pour que ça soit ainsi.
Or, Joe Pavelski ne saignait pas et Evans a quand-même reçu quatre minutes de pénalité. Quand ton équipe perd 3-2 en 3e période, la différence entre deux et quatre minutes au cachot est énorme.
C'est en effet difficile à comprendre. L'inconstance au niveau de l'arbitrage a encore une fois couvert la LNH de ridicule. Quand les pénalités sont une question de jugement, comme l'obstruction, par exemple, ça s'explique. Mais là, c'est l'incompréhension total.