Papa Caufield se souviendra du but de fiston pour une raison TRÈS précise

Publié le 16 juin 2021 à 9h54
PAR JEFF DROUIN

Cole Caufield a inscrit son premier but en carrière en séries éliminatoires lors du premier match de cette 3e ronde. Après neuf joutes sans faire scintiller la lumière rouge, il a été en mesure de le faire, sur l'attaque massive, contre les Golden Knights de Vegas, lors de son 10e match. C'était également son 5e point lors de cette valse printannière, ce qui est loin d'être banal pour un jeune joueur de 20 ans qui entame tout juste sa carrière.

Bref, lorsqu'il a marqué, après sa deuxième chance sur la même séquence, les amateurs et le Québec ont certes hurlé. Du moins, chez moi, les planchers vibraient. Puis, au T-Mobile Arena, on a vu sa famille en liesse et en pleurs, ce qui était d'ailleurs le plus beau moment de ce premier combat entre le Bleu-blanc-rouge et les Knights.


Au sujet de la réaction familiale, Guillaume Lefrançois s'est entretenu avec le clan Caufield et la réaction du paternel au sujet du but de fiston vaut le détour puisque Cole a marqué contre l'un des meilleurs cerbères de l'histoire, soit Marc-Andre Fleury.


« Ça se passait à l'autre bout de la patinoire. Il a eu une première occasion, je me suis levé, je pensais qu'il avait marqué, on a tous fait "aaaawww". Et puis il a tout de suite eu une autre chance, et il a réussi. C'était assez spécial, je vais toujours me souvenir qu'il a marqué son premier but en séries contre un des meilleurs gardiens de l'histoire, contre un futur membre du Temple de la renommée. » - M. Paul Caufield

Ce genre de réaction émotive nous fait sourire et nous aide à passer une belle journée si l'on s'est levé du pied gauche un matin donné.

P.S. : Papa Caufield trouve aussi que Nikita Kucherov est un joueur exceptionnel. Avec raison.

« Je n'arrête pas de dire à Brock que Nikita Kucherov est le joueur, dans la LNH d'aujourd'hui, qui se rapproche le plus de Wayne Gretzky. Et il ne veut rien savoir quand je lui dis ça ! » - M. Paul Caufield

D'ailleurs, pour ceux qui ont raté mon texte d'ouverture ce matin, le voici à nouveau :

10 dernières chroniques
pub