500 partisans au Centre Bell : un membre de l'organisation rétorque

Publié le 26 janvier 2022 à 20h36
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500 partisans. C'est tout ce que le Canadien de Montréal pourra accueillir au Centre Bell à compter du 7 février prochain. Même si c'est un bon début, ce n'est bien évidemment pas assez, puisqu'il ne s'agit que d'environ 2.35% de la capacité maximale.

À ce sujet, la présidente « sports et divertissement » du groupe CH, France Margaret Bélanger, comprend les règles du gouvernement, mais elle ne peut s'empêcher d'espérer mieux pour l'avenir.

« C'est certain qu'il y a de la déception, mais on ne peut pas faire autrement. Nous sommes conscients de la situation. La santé des gens et la solidarité, on comprend tout ça depuis 22 mois et on fait bien attention à ça. Ceci étant dit, on arrive mal à s'expliquer qu'on peut accueillir 500 personnes dans une salle de 1000 sièges et qu'au Centre Bell c'est 500 personnes pour 21 000 sièges. Le Centre Bell, c'est deux millions de pieds carrés. On aurait souhaité plus de capacité et on espère que ça va venir rapidement. »

Mme. Bélanger rappelle par ailleurs que malgré le grand nombre de partisans qui ont visité le Centre Bell depuis la reprise de ses activités, en janvier 2021, l'établissement n'a été victime d'aucune éclosion reliée à la Covid-19. Un exploit de taille, selon elle.


« Depuis qu'on a repris nos activités le 3 janvier 2021, on n'a jamais eu aucune éclosion. Malgré les centaines de milliers de personnes qui ont été au Centre Bell, parce qu'il y en a eu beaucoup des gens qui sont venus nous voir dans les séries et dans les derniers mois. C'est une fierté pour nous et on veut maintenir ça. On explique comment on voit les choses et ils prennent les décisions. »

Sur une note plus positive, France Margaret Bélanger a également commenté la venue d'un nouveau directeur général en la personne de Kent Hughes. Et même s'il y aura certainement une période d'ajustement, elle croit que cette nomination apportera beaucoup de positif pour l'organisation.

« C'est énormément de changements. Marc était ici depuis 2012, mais il faut regarder vers le futur. Je crois qu'on a deux très bonnes têtes de hockey dans le moment et je crois que ça va nous amener ailleurs. Je ne suis pas impliquée dans les décisions de hockey, mais je regarde ça. », a-t-elle conclu.

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