Martin St-Louis a compris une chose essentielle que Dom Ducharme ne catchait pas

Lorsqu'on a acquis Christian Dvorak l'été dernier chez le Tricolore, on nous l'avait vendu comme étant une meilleure version de Phillip Danault.

Il était pressenti pour être le successeur de l'attaquant québécois. Hélas, on a vite remarqué que ce n'était pas du tout la même « game » entre les deux individus sur la patinoire.

Dominique Ducharme utilisait Dvorak à profusion sur le deuxième trio de l'équipe, mais on va se le dire, ça ne marchait pas. Il n'a pas su utiliser les atouts de D-Vo comme il se devait.

Martin St-Louis, quant à lui, a « catché » rapidement ce qu'il devait faire pour que Dvorak connaisse du succès. C'est-à-dire, lui donner un rôle dans la chaise qui lui revenait, soit de troisième joueur de centre.


De plus, selon les dires de Marco D'Amico, le fait que St-Louis l'utilise majoritairement dans des missions défensives l'aide grandement offensivement.



Une chose est sûre, on commence à réellement voir le vrai visage du numéro 28 du CH, et ce,après un début de saison en queue de poisson. On peut maintenant dire qu'il a trouvé sa niche auprès de son nouvel entraîneur-chef.

Au cumulatif, Dvorak a amassé 24 points, dont dix buts, en 46 parties cette saison. C'est plutôt respectable, considérant la difficulté d'adaptation.