Martin St-Louis envoie un message subtil à Gary Bettman et à la LNH
Crédit photo: NHL.com
Martin St-Louis est aux premières loges pour voir ses joueurs se faire malmener dans la série contre les Capitals de Washington. Il les voit revenir au banc, maganés dans certains cas.
C'est le visage amoché que Brendan Gallagher et Cole Caufield sont revenus au banc du CH dans les deux premiers matchs, et les joueurs des Capitals s'en donnent à coeur joie.
Les bâtons sont hauts, ils traversent la limite, sans pour autant se faire punir. La ligne est mince entre aider son équipe et lui nuire en écopant de pénalités, et les Capitals s'en tirent très bien jusqu'à maintenant.
Pour ce qui est de son équipe et ce qu'il peut contrôler, Martin St-Louis préfère ne pas franchir la ligne.
Martin St-Louis envoie une flèche subtile à Gary Bettman et à la LNH
Questionné au sujet des doubles-échecs au visage de se joueurs, le coach n'a pas voulu dire sa façon de penser pour ne pas se mettre dans le trouble, mais il a tout de même été très clair.
J'ai demandé à Martin St- Louis ce matin : Pouvez-vous tirer profit de la façon dont la série est annoncée?
« Je veux dire que c'est difficile », a-t-il répondu. « Vous devez respecter cette ligne. Je regarde aussi d'autres matches, c'est difficile. J'ai l'impression que nous avons fait du bon travail, mais il faut quand même faire attention à la ligne, vous savez. »
« À quel point tu aides et à quel point tu nuis? On ne peut pas tuer les pénalités, surtout en début de match. Vous savez que vous allez devoir tuer des pénalités, mais vous devez respecter la ligne de démarcation. »
Suivi: Est-ce qu'une mise en échec au visage de quelqu'un dépasserait cette limite?
« Je pense que oui », a répondu St-Louis.
- Eric Engels
« Je veux dire que c'est difficile », a-t-il répondu. « Vous devez respecter cette ligne. Je regarde aussi d'autres matches, c'est difficile. J'ai l'impression que nous avons fait du bon travail, mais il faut quand même faire attention à la ligne, vous savez. »
« À quel point tu aides et à quel point tu nuis? On ne peut pas tuer les pénalités, surtout en début de match. Vous savez que vous allez devoir tuer des pénalités, mais vous devez respecter la ligne de démarcation. »
Suivi: Est-ce qu'une mise en échec au visage de quelqu'un dépasserait cette limite?
« Je pense que oui », a répondu St-Louis.
- Eric Engels
Martin s'est donc un peu vidé le coeur, alors qu'il a mentionné qu'un double-échec dépasse la limite et que selon lui, ça mérite une pénalité.
Or, le Canadien n'a pas eu d'avantage numérique lié à un coup de bâton au visage encore, alors il passe un message du même coup.
Tirez-en votre propre conclusion, mais c'est certain que s'il n'avait pas peur de mettre son équipe dans le trouble en parlant plus, il le ferait.
| SONDAGE | ||
24 AVRIL | 4399 RÉPONSES Martin St-Louis envoie un message subtil à Gary Bettman et à la LNH Selon vous, le Canadien de Montréal devrait-il jouer au-delà de la limite comme les Capitals de Washington le font? | ||
| Oui | 3682 | 83.7 % |
| Non | 717 | 16.3 % |
| Liste des sondages | ||
TOP 5
