S'il y a bien deux joueurs chez le CH pour lesquels on doit espérer de très grandes choses pour l'avenir, ce sont Nick Suzuki et Cole Caufield. Le nouveau duo de prédilection en attaque fera des ravages, même en 2021-2022.
Oui, ils sont jeunes, eux qui ne sont âgés que de 22 ans (Suzuki) et 20 ans (Caufield), certes, ils sont capables d'en prendre sur leurs épaules. Il n'est pas gênant de dire que ces deux-là deviendront des super-vedettes dans la LNH. Ils évolueront vraisemblablement aux côtés de Tyler Toffoli à l'automne, ce qui risque d'être le trio qui sera étiqueté comme étant le premier.
À quoi devons-nous nous attendre de Caufield et Suzuki? De très grandes choses, ça, c'est certain. Ils ont prouvé en séries éliminatoires qu'ils étaient en mesure de mener l'attaque de l'équipe, malgré leur jeune âge. Suzuki a amassé un total 16 points en 22 parties lors du plus récent bal printanier et en saison régulière, il avait cumulé 41 points en 56 joutes. Suzuki ne fera que s'améliorer, dites-vous ça. Le départ de Danault pourrait propulser Suzuki au prochain niveau, étant donné ses responsabilités qui risquent de doubler. Combien de points pourrait-il récolter cette saison? 70? 80? C'est très possible!
Pour sa part, Cole Caufield en sera à sa première saison complète dans la LNH. Est-ce une raison d'avoir de petites attentes envers lui? Non! Caufield est un joueur talentueux avec énormément de caractère, comme on a pu le voir en séries éliminatoires. Il avait amassé 5 points en 10 affrontements en saison régulière, en plus d'ajouter 12 points en 20 parties éliminatoires. Tout comme Suzuki, il n'a pas fini de s'améliorer. Que peut-on espérer de lui cette année? De 20 à 25 buts? Entre 50 et 60 points? S'il joue de façon constante avec Nick Suzuki et Tyler Toffoli, il risque fort probablement d'y parvenir et même de se tailler une place parmi les finalistes au trophée Calder.
On pourra dorénavant les appeler « les inséparables », car ils seront clairement jumelés ensemble à toutes les sauces en attaque, sauf peut-être en infériorité numérique.
