Pour ce qui est de
Tomas Tatar, oubliez ça tout de suite. Personnellement, même s'il a connu d'excellentes saisons régulières dans cet uniforme bleu-blanc-rouge, il n'a plus de siège pour lui à Montréal. De plus, il semble avoir le coco déjà parti de la métropole. Son jeu sur la patinoire le démontre : il manque de concentration, il crée des revirements et il est parfois trop
soft le long des rampes. Bref, en ce moment, on veut des soldats engagés.