Caufield, l'enfant prodige

Publié le 12 avril 2021 à 20h24
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J'espère pour lui qu'il aime les kodaks, les micros et l'attention! Cole Caufield, si tu habites dans la belle province et ce nom te dit rien, soit tu es dans le coma ou tu reviens d'un voyage sur la planète mars! Il est sur les lèvres de tous les partisans, les féfanes, les chialeux, les indifférents, ceux-là qui pense que c'était mieux dans le temps, Louis de ville Mercier, Guy Leduc alias Slipcoquille et les autres!

Avez-vous remarqué la subtilité des membres du Rocket de Laval? Avez-vous remarqué?

Ils ont donné le numéro 44 à Caufield et ce n'est pas un hasard quant à moi. Oh que non! Le numéro 44 représente beaucoup dans l'organisation du Canadien de Montréal. Le numéro était porté par Stéphane Richer, le dernier joueur du Canadien à avoir marqué 50 buts pour les glorieux.

Les médias de Montréal nous ont montré l'étendue de leurs ridicules, première pratique de Cole Caufield avec le Rocket, les premiers mots de Cole Caufield à son arrivée, etc. Ils seront les premiers à nous dire qu'à Montréal, il y a trop de pression. On ne vous appelle pas la meute pour rien si vous voulez mon avis. Je vous aime autant que Pat Burns vous aimait!



Le partisan du Canadien est comme golem en ce qui concerne Cole Caufield, il est vraiment notre précieux et pour poursuivre dans l'analogie cinématographique comme dirait Elvis Gratton, des chandails de Caufield ON VA EN VENDRE EN TABARN*K!

Un adulescent de 5 pieds 7, mais un géant sur la glace! Il arrive ici avec le prestigieux trophée du Hobey Baker, meilleur joueur de la NCAA cette année. Pour Montréal, c'est la meilleure chose arrivée depuis le pain tranché, sans farce. Le hype ou si vous voulez préféré le battage publicitaire autour de Cole est réel. Nous sommes, je crois, en présence de l'enfant prodige comme le dit mon titre!

Je suis content, mais pas surpris qu'il domine avec le Rocket! Il a un talent exceptionnel, c'est clair! Est-ce qu'il va réussir à le déposer sur les glaces de la ligue nationale? La question demeure entière! Il faut admettre qu'il ne joue pas dans le fin fond de l'Arizona, mais dans la plus prestigieuse organisation que le hockey à jamais connu.

Il est littéralement le Saint-Graal entendu depuis si longtemps par les partisans et l'organisation. La dernière année qu'un joueur a inscrit 50 buts à Montréal, c'était en 1989-1990, lui il arrive en ville avec ce potentiel. Il arrive avec un possible et pas juste un rêve!

Je souhaite qu'il garde le beau sourire qui le caractérise. C'est un rayon de soleil dans cette maudite pandémie. Un vent de fraîcheur qui arrive en même temps que la belle saison chez nous. En tant que papa deux fois et partisan, je serai protecteur de ce jeune homme qui arrive du fin fond du Wisconsin!

Cole Caufield, BIENVENUE chez vous, la ville de Montréal t'appartient déjà!

Votre humble gribouilleur

Barbu de ville
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